28 avril, 2014

Les aventuriers des cartouches E.T. d'Atari perdues










 

C'était probablement l'un des pires jeux vidéo de tous les temps, mais il n'en est pas moins une légende : E.T. l'extraterrestre (pour Atari) est au coeur de l'actualité, alors que des centaines de cartouches de ce jeu ont été retrouvées dans le désert du Nouveau-Mexique (États-Unis).





En 1983, un an avant de jeter l'éponge à cause du krach du jeu vidéo, l'éditeur Atari avait enterré des millions d'exemplaires du jeu, selon des témoignages de l'époque désormais accrédités par la découverte quasi archéologique. De son côté, l'entreprise avait toujours démenti s'être ainsi débarrassée de ses invendus.



E.T. The Extraterrestrial devait être un best-seller d'Atari. Le film de Steven Spielberg venait de sortir (en 1982) et connaissait un succès planétaire. L'éditeur de jeux vidéo, alors leader mondial en difficulté, avait tout misé sur ce titre et en avait produit quatre à cinq millions d'exemplaires. 





















Mais le jeu avait été développé dans l'urgence, et la critique fut impitoyable : il fut immédiatement considéré comme le pire jeu de l'histoire (même si, depuis, on a fait pire). Le développeur du jeu s'était défendu en affirmant n'avoir eu que cinq semaines pour tout boucler, design compris, selon Mashable. "Et ça se voit", ironise le média américain, évoquant un logiciel totalement "buggé" et un scénario dénué de sens. 















































Mais il fallait que le jeu soit en magasin avant Noël 1982, et tous les sacrifices ont été faits... Au fond du gouffre après cet échec, Atari avait été découpée en deux entités, revendues séparément en 1984.






































L'équipe d'un documentaire sur les jeux perdus d'Atari aurait enfin découvert le trésor samedi, dans une décharge de la ville d'Alamogordo, non loin de la célèbre Zone 51 (dont l'existence a été confirmée par la CIA l'année dernière). Les pelleteuses ont mis au jour des centaines d'exemplaires, selon les témoins sur place, qui attendent impatiemment que des centaines de milliers voire des millions de cartouches sortent de terre. 











Aucune image ne montre pour le moment de grandes quantités de pochettes du jeu, et la prudence reste 
donc de mise. Bizarrement, personne ne semble s'émouvoir qu'Atari ait enseveli ces déchets néfastes dans une décharge, visiblement sans protection ou retraitement particuliers. Pourtant, en 1983, le New York Times avait bien dénoncé le déchargement des 14 semi-remorques d'Atari !







L'opération de samedi reste un brin mystérieuse, et pas seulement parce que les images ne montrent pour le moment que quelques pochettes de jeu. Le documentaire est financé par Xbox Entertainment Studios, une filiale de Microsoft. Le géant de l'informatique a bien orchestré la communication autour de l'événement, notamment en invitant des fans de jeux vidéo samedi matin pour les travaux d'excavation.


 Ces témoins ont pu poster des photos de l'opération sur les réseaux sociaux, pour le plus grand plaisir de la marque. Et c'est une porte-parole de Microsoft qui a commenté pour la presse les premières découvertes. Microsoft s'apprête à lancer son service de vidéos sur sa console Xbox, et le premier documentaire disponible sur la plate-forme sera... celui qui est actuellement tourné sur les jeux perdus d'Atari. Pas de doute, cette fois, le scénariste est bon !

source Le Point

26 avril, 2014

Fanzine "Délivrance/ Everyday is like Sunday"


Avant le "STEADYZINE numéro quatre" il y a le fanzine DÉLIVRANCE qui lui aussi en est à son numéro 04 .Il est disponible, cette fois, sous la forme d'un split-zine, avec le numéro 06 d'EVERYDAY IS LIKE SUNDAY! 72 pages de cinéma et de culture horrifiques.

Du coté de DÉLIVRANCE, on trouve un bon paquet de chroniques films (horreur, fantastique, bis, action…), une rubrique sur la collection de romans GORE, et quelques bouquins et fanzines de collègues. Trois interviews, avec Stéphane du fanzine TOUTES LES COULEURS DU BIS, Melvin (qui nous parle de son projet de livre sur MAD MAX), et le réalisateur Mathieu Berthon, à qui l'on doit LE RÉSERVISTE.

Du coté d'EVERYDAY IS LIKE SUNDAY, de nombreuses chroniques film également, avec de l'action, du gore, du bis, de l'horreur…souvent typés 80's et 90's, ainsi que les rubriques "Drive-In Massacre" et "Kill. Eat. Read." Deux interviews, avec Fred Videophage, et l'éditeur dvd UNCUT MOVIES!

Bref, 72 pages A4 avec couvertures couleurs, dispo pour 6€ + port.


Paiement par Paypal ou pour les chèques, contactez  : delivrancezine[a]gmail.com


voir le blog de Délivrance  ici

20 avril, 2014

la séance de 20h08





Le film se révèle prophétique de l'évolution de la télévision, pas tant par sa vision de la violence à l'écran que par la scénarisation d'émissions décrivant soi-disant la « réalité ». Les divers scandales de « bidonnage » émaillant les émissions actuelles de téléréalité confortent cette analyse de scénarisation à outrance.

On constate de nombreuses similitudes avec le film Running Man de Paul Michael Glaser, qui sort quatre ans plus tard, en 1987. Dans les années 1990, une plainte de l'équipe du Prix du danger fut déposée à l'encontre de Running Man pour plagiat. Le film de Glaser est inspiré d'un roman de Stephen King sorti en 1982 sous le pseudonyme de Richard Bachman, Running Man (The Running Man). Ce roman est lui-même inspiré d'une nouvelle de Robert Sheckley, Le Prix du danger (The Prize of Peril), publiée en 1958. C'est cette nouvelle qui servit de base au Prix du danger. Les plaignants gagnèrent le procès en première instance, perdirent en appel, puis gagnèrent en cassation. Néanmoins, ils eurent beaucoup de mal à obtenir le dédommagement financier demandé (s'élevant à plus d'un million de francs, soit plus de 150 000 euros)[réf. souhaitée]1,2. Pour être complet sur le sujet, il faut préciser que le réalisateur allemand Tom Toelle adapta lui aussi la nouvelle de Robert Sheckley, 13 ans avant Yves Boisset.

La nouvelle a été adapté le premier fois en 1970 par le téléfilm allemand Das Millionenspiel.
Le rôle principal aurait dû être tenu par Patrick Dewaere avant qu'il ne se suicide, quelques mois avant le début du tournage3.
Le film fut tourné à Paris et à Belgrade, en Serbie.

source WIKIPEDIA



Le 1er mai en septembre

Pour rebondir sur le post de Will sur son Plein de super, voici encore un titre de film U.S (Labor Day) traduit chez nous, non pas par un titre français , mais par un autre titre anglophone: "Last days of summer".







à ne pas confondre avec ce petit film (la différence étant dans le nombre de jour !!!)



A noter que chez nos amis Québécois, dans la langue de Céline Dion le titre est bien traduit : "La fête du travail"  .

pour info : Aux Etats Unis la fête du Travail (Labor Day) est célébrée le premier lundi de septembre, il s’agit d’un jour férié et chômé marquant traditionnellement la rentrée (scolaire, artistique) après les vacances d’été. Elle n'a pratiquement plus de signification politique particulière.
Par contre au Quebec, c'est comme chez nous c'est le 1er mai.

Les Quebécois qui verront donc le film auront un léger différé de saison par rapport à la période du  film !!!

09 avril, 2014

Soirée Torso : Double programme ciné 80's

Nos confrères de Torso La revue du cinéma proposent  pour leur première "Soirée Torso" un double programme cinématographique.

Rien de moins que deux classiques des années 80 réalisés par Joe Dante et Wes Craven .
A l'honneur le film de Loup-garou ultime "Hurlements" et Freddy le croquemitaine  qui hante toujours nos mémoires  avec "Les griffes de la nuit".

Ça se passe où ? à l'institut de l'image à Aix en Provence le 11 avril.

































 affiche by Le Steadyblog



Torso revient incessamment sous peu avec leur 11 ème numéro consacré à Brian Yuzna.


07 avril, 2014

"Goonies never die!"

"si on considère Les Goonies comme un comic book movie, alors on va faire une suite aux Goonies." 

Alors qu'on lui demandait s'il avait prévu de réaliser de nouveaux films adaptés de comics, Donner a déclaré tout de go "si on considère Les Goonies comme un comic book movie, alors on va faire une suite aux Goonies." Il espère faire revenir le casting original, presque trente ans plus tard.




Le patron embauche !



Stallone recrute du beau monde pour sa 3eme mission !